Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a condamné l'attaque. "Une fois encore, nous sommes témoins d'actes de violence inacceptables contre des représentants politiques".
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, "choquée par la fusillade", a déclaré que "la violence politique n'a pas sa place dans une démocratie".
Le secrétaire général de l'ONU António Guterres a condamné "sans équivoque cet acte de violence politique".
Le Premier ministre britannique Keir Starmer s'est dit "consterné" après les tirs lors d'un meeting de Donald Trump, dans un message sur le réseau social X dans la nuit de samedi à dimanche, avant d'adresser ses "meilleurs vœux" à l'ex-président et sa famille. "La violence politique sous quelque forme que ce soit n'a pas sa place dans nos sociétés et mes pensées vont à toutes les victimes de cette attaque", a ajouté Keir Starmer.
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La Première ministre italienne Giorgia Meloni a indiqué "suivre avec appréhension" la situation en Pennsylvanie et souhaité un prompt rétablissement à l'ex-président américain, espérant que "le dialogue et la responsabilité puissent prévaloir sur la haine et la violence" en cette période électorale aux Etats-Unis.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a qualifié d'"ignoble" la tentative d'assassinat, estimant que la violence politique constitue une menace pour la démocratie.
Pour le président français Emmanuel Macron, "c'est un drame pour nos démocraties. La France partage le choc et l'indignation du peuple américain".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a également fait part de sa "consternation" et souhaité un "prompt rétablissement" à Donald Trump. "Une telle violence n'a pas de justification et aucune place dans ce monde. La violence ne doit jamais prévaloir".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a quant à lui adressé ses "pensées et prières" à Donald Trump "en ces heures sombres", deux jours après avoir rencontré l'ex-président américain dans sa résidence de Mar-a-Lago en Floride.
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"Tout simplement dégoûté par les tirs dirigés vers l'ex-président Trump. On ne le dira jamais assez: la violence politique n'est jamais acceptable. Mes pensées vont à M. Trump, les personnes présentes et tous les Américains", a réagi le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur X.
De son côté, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré que son épouse Sara et lui "ont été choqués par l'attaque contre le président Trump". "Nous prions pour sa sécurité et son prompt rétablissement", a-t-il écrit également sur X.
Le Premier ministre indien Narendra Modi s'est lui déclaré "très inquiet". "Je condamne fermement cet incident. La violence n'a pas sa place en politique et dans les démocraties. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement", a-t-il ajouté dans un message publié sur les réseaux sociaux.
Le président argentin Javier Milei a pour sa part blâmé la "gauche internationale" et son "idéologie néfaste" prête à "déstabiliser les démocraties" pour "se hisser au pouvoir", dans un message de "soutien" et de "solidarité" à Donald Trump. "Craignant de perdre les élections, ils recourent au terrorisme pour imposer leur programme rétrograde et autoritaire", a déclaré le chef d'Etat sur X.
Le dirigeant brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a de son côté appelé les défenseurs de la démocratie et du dialogue politique à "condamner fermement" l'attaque contre Donald Trump.
A Madrid, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a aussi condamné "avec la plus grande fermeté" l'attaque, estimant que "la violence et la haine n'ont pas leur place dans une démocratie".
Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a réagi sur X se disant "consterné", estimant que "la violence politique est inacceptable dans nos sociétés démocratiques".
La tentative d'assassinat de Trump est un "moment de choc non seulement pour l'Amérique, mais aussi pour l'ensemble du monde libre et démocratique", a estimé le chef de l'Etat polonais Andrzej Duda, qui a "remercié Dieu" d'avoir "sauvé la vie" à Trump.
Son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, a condamné fermement "la tentative d'assassinat contre le 45ᵉ président et candidat à la présidence des Etats-Unis".
Le président chinois Xi Jinping a exprimé dimanche "sa compassion et sa sympathie" à Donald Trump. "La Chine suit avec attention la situation relative à la fusillade dont a été victime l'ex-président Donald Trump", a indiqué dans un communiqué un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a appelé à "rester fermes face à toute forme de violence qui défie la démocratie", souhaitant un "prompt rétablissement" à Donald Trump.
Quant au Premier ministre australien Anthony Albanese, il a qualifié de "préoccupante" cette attaque, exprimant son soulagement de savoir Donald Trump sain et sauf. "Il n'y a pas de place pour la violence dans le processus démocratique", a-t-il commenté.
Des propos auxquels le Premier ministre néo-zélandais voisin, Chris Luxon, a fait écho. "Aucun pays ne devrait faire face à une telle violence politique".