"Après une période de réflexion, j'ai choisi de renoncer" a déclaré Valérie Trierweiler dans un entretien publié mercredi par le quotidien "Ouest-France". La journaliste évoque un projet d'émission de télévision sur la chaîne privée D8. La compagne du président français François Hollande continuera en revanche sa collaboration avec "Paris-Match".
Un risque de trouble
Selon Valérie Trierweiler, "c'était un beau projet à vocation humanitaire, mais je comprends que, pour certains, être la compagne du président et travailler pour une télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c'est pour cette raison que je ne pas donne pas suite".
"Avec D8, où je travaillais depuis sept ans, nous avions imaginé un ou deux documentaires sur des grandes causes comme l'éducation des petites filles dans le monde ou les problèmes démographiques", a-t-elle ajouté.
Besoin de son salaire
Interrogée sur son avenir en tant que journaliste, Valérie Trierweiler a affirmé qu'elle était "journaliste à 'Paris Match' depuis 22 ans" où elle tenait "une chronique littéraire qui n'a rien à voir avec la politique". "Mes enfants sont à ma charge et je ne vois pas comment faire sans salaire", a-t-elle encore confié.
ats/aduc
Carrière mise entre parenthèses
La compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, avait animé sur Direct 8 - appartenant à l'époque au groupe Bolloré et désormais propriété du groupe Canal+ - plusieurs émissions politiques et un magazine culturel.
Elle a dû arrêter ces activités après l'élection de François Hollande à la présidence de la République française en mai.
"Mea culpa" pour un tweet
Valérie Trierweiler, la compagne du président français François Hollande, a fait son mea culpa au sujet de son tweet de soutien au rival de Ségolène Royal avant les élections législatives dans un entretien à "Ouest France" publié mercredi. "C'est une erreur que je regrette", a-t-elle déclaré avant de promettre que "cela ne se reproduira pas".