José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, affirme dans un entretien à Reuters que le "oui" à l'initiative aura de "sérieuses conséquences" sur les relations entre Berne et les 28 membres de l'Union européenne.
Bien qu'il n'ait pas annoncé de sanctions spécifiques, il a laissé entendre que les Suisses pourraient perdre la possibilité de travailler et de vivre dans l'UE, y compris en Allemagne, en France et en Italie. Les entreprises suisses pourraient également devoir faire face à de nouveaux obstacles, a-t-il ajouté.
"Un accès réciproque"
Le responsable portugais a encore souligné qu'il était "injuste qu'un pays bénéficie de tous ces avantages" sans offrir les mêmes avantages à ses partenaires.
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agences/moha