![François Hollande et Barack Obama (ici en mai 2012) souhaitent trouver une solution commune à la situation en Syrie. [EPA/Keystone - Kristoffer Tripplaar]](https://img.rts.ch/articles/2013/image/7se37f-26066762.image?w=1280&h=720 "François Hollande et Barack Obama (ici en mai 2012) souhaitent trouver une solution commune à la situation en Syrie. [EPA/Keystone - Kristoffer Tripplaar]")
Hollande et Obama appellent Poutine à faire pression sur les pro-Russes
L'Elysée et la Maison Blanche ont à nouveau invité Vladimir Poutine à faire pression sur les séparatistes de l'est de l'Ukraine pour qu'ils acceptent le dialogue avec Kiev.
François Hollande et Barack Obama ont "appelé" lundi leur homologue russe Vladimir Poutine à "faire pression sur les séparatistes" pro-russes "afin qu'ils acceptent le dialogue avec les autorités ukrainiennes".
Les présidents français et américain, qui se sont entretenus par téléphone pendant trois quarts d'heure, ont également "marqué l'importance d'une réunion du groupe de contact le plus rapidement possible avec les éléments séparatistes, en vue d'aboutir à un cessez-le-feu bilatéral".
Solution politique
Ce groupe de contact est constitué de la Russie, de l'Ukraine et de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Les deux dirigeants estiment qu'"une solution durable à la crise en Ukraine ne peut être que politique".
Ils ont par ailleurs "rappelé la nécessité d'une libération de tous les otages" et "décidé de coordonner leurs efforts pour exercer les pressions nécessaires", selon un communiqué de L'Elysée.
agences/fb
Publié
Élargissement de "liste noire" de l'UE
Les ambassadeurs des Etats membres de l'Union européenne ont donné lundi leur accord de principe à l'allongement de la liste des personnes physiques et morales sanctionnées pour leur rôle dans le conflit ukrainien.
Les noms à ajouter à cette liste seront choisis mercredi lors d'une nouvelle réunion des ambassadeurs. Le gel des avoirs et des visas adopté par l'Union européenne après l'annexion de la Crimée concerne pour l'heure 61 personnes en Russie et en Ukraine ainsi que deux compagnies d'énergie présentes dans la péninsule annexée.