Les protagonistes sont censés faire le point sur les progrès réalisés depuis le raz-de-marée qui avait emporté quelque 250'000 vies en 2004 dans l'océan Indien, et "définir un cadre d'action post-2015".
Ce troisième grand rassemblement mondial fait suite à la publication d'un rapport de l'ONU, qui pointe du doigt les pertes économiques mondiales annuelles de 250 à 300 milliards de dollars dues aux sinistres naturels. "Ce dont nous parlons ici est une réalité pour des millions de personnes dans le monde", a déclaré le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, en ouverture de la conférence.
Expertise helvétique
Le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a rappelé que la Suisse peut faire valoir une expertise reposant sur de longues années d’expérience. Il a cité des engagements précis de la Suisse en Bolivie, au Pakistan et au Maroc pour illustrer ses propos.
agences/fme