"Si certains de nos partenaires pensent que nous devrions nécessairement nous accorder par avance sur le fait qu'au terme d'une période de transition, le président devrait quitter ses fonctions, c'est pour la Russie une position qui n'est pas acceptable", a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
Nécessité de pourparlers
Le sort d'Assad ne peut être décidé que dans le cadre de pourparlers entre des représentants de son gouvernement et de ses opposants, a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse commune à Moscou avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif.
Le chef de la diplomatie iranienne a indiqué pour sa part que le rôle des Etats étrangers devait se limiter à "faciliter ces (pourparlers)". La Russie et l'Iran sont les deux principaux alliés du régime syrien.
reuters/fisf