Dans ce panel - qui comprend toutes les métropoles majeures -, 293 villes (80% du total) ont connu l'an dernier une concentration moyenne de particules polluantes supérieure au standard national chinois.
La concentration moyenne de particules de 2,5 microns de diamètre (PM2.5) dans les villes considérées était également cinq fois supérieure au plafond recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a indiqué Greenpeace.
La consommation de charbon brûlé en cause
Ces microparticules sont particulièrement dangereuses pour la santé, car elles pénètrent profondément dans les poumons. L'ONG note par ailleurs que le standard imposé par l'Etat en Chine est bien plus laxiste que les recommandations de l'OMS.
La pollution à Pékin et dans sa région s'explique par le vent et les conditions d'humidité, a ajouté Greenpeace. Mais "l'origine de la pollution reste la consommation colossale de charbon brûlé dans le nord du pays", a insisté l'ONG.
afp/apyt