"La file toujours plus nombreuse de migrants et de réfugiés fuyant la guerre, la faim, la pauvreté et l'injustice ne doit pas être oubliée. Ces frères et soeurs rencontrent trop souvent en chemin la mort ou un refus de ceux qui pourraient leur offrir un accueil et de l'aide", a martelé François.
Dans un message sombre, une note d'espérance a été pour la Syrie. Le souverain pontife a exprimé son plein soutien aux négociations de Genève: "Que le Seigneur ouvre des chemins d'espérance à la Syrie bien aimée, pays déchiqueté par un long conflit" et qui a souffert "la décomposition de sa société civile".
"Ferments d'espérance"
François a aussi prié pour l'Irak, le Yémen, la Libye, le conflit israélo-palestinien et a entrevu quelques "ferments d'espérance" dans les conflits civils au Burundi, au Mozambique, en République démocratique du Congo et au Sud-Soudan.
Il a finalement souhaité "le dialogue et la collaboration de tous" au Venezuela, dans la seule allusion à son continent d'origine.
ats/kg