Christine Lagarde, directrice du FMI, répondait à une lettre du Premier ministre grec qui l'interrogeait sur la position du FMI dans les négociations.
Dans sa missive Christine Lagarde assure que le FMI n'utilise pas la menace ou le chantage comme moyen de négociation, ni les fuites dans la presse comme méthode de communication.
Mais elle prévient le Premier ministre grec qu'il incombe à son gouvernement de faire des propositions "réalistes" pour parvenir à un accord acceptable par tous. Sa lettre est disponible sur le site du FMI (en anglais).
WikiLeaks
Cet échange de courriers fait suite à la divulgation par le site WikiLeaks de la transcription d'une conversation suggérant que le FMI pourrait menacer de ne pas participer au troisième plan de sauvetage de la Grèce afin de contraindre les pays de la zone euro à accepter un allègement plus fort de la dette grecque.
ats/vs