La plainte en question l'accusait de mentir sur la fiabilité de ses contrôles d'antécédents des conducteurs. L'accord a été validé par la justice.
Les procureurs de San Francisco et Los Angeles avaient déposé la plainte initiale en 2014, dans laquelle ils accusaient également l'entreprise d'opérer sans autorisation dans des aéroports.
Dans le cadre de cette procédure, ils avaient notamment dressé, l'année suivante, une liste de 25 personnes découvertes en train de conduire pour Uber en dépit de condamnations judiciaires. Parmi ces conducteurs figuraient notamment un meurtrier ayant passé 26 ans en prison et des pédophiles.
Récidive punie
L'accord prévoit le paiement dans les soixante jours par Uber de 10 millions de dollars (9,6 millions de francs), ainsi que des engagements de bonne conduite, ont annoncé les différentes parties. Si l'entreprise ne respecte pas les termes de l'accord amiable dans les deux prochaines années, elle devra payer 15 millions de dollars supplémentaires.
ats/kkub