Des frappes turques auraient tué plus de 60 membres du groupe EI en Syrie
Ces frappes comprenaient des bombardements de l'artillerie turque et des attaques de drones de la coalition antidjihadiste ayant décollé depuis la Turquie. Ces bombardements ont été menés en réponse à de nombreux tirs mortels de roquettes attribués au groupe EI contre la ville frontalière turque de Kilis.
Dans l'immédiat, le bilan de 63 morts était impossible à vérifier de façon indépendante.
La Turquie aurait renforcé son action
Longtemps accusée de soutenir des éléments radicaux opposés au président syrien Bachar al-Assad, la Turquie, membre de l'OTAN, a rejoint la coalition internationale. Elle semble avoir renforcé son implication ces dernières semaines après une série d'attaques sur son sol.
Le pays a été secoué cette année par plusieurs attentats d'ampleur notamment à Ankara et Istanbul imputés aux djihadistes ou liés à la reprise du conflit kurde, qui ont fait des dizaines de morts.
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ats/apyt