La justice a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances du suicide de la victime, survenue dans la commune d'Egly, dans la banlieue sud de Paris.
"L'exploitation du téléphone et la récupération de la vidéo sont en cours", a précisé une source judiciaire.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la jeune femme "aurait évoqué un viol et désigné un agresseur" au cours de l'enregistrement, a ajouté cette source, qui reste très prudente sur la réalité de ces faits.
Alerte par un utilisateur de Periscope
Les gendarmes ont indiqué avoir été alertés "par un utilisateur de Periscope qui était connecté avec la victime et nous disait qu'elle n'allait pas bien", mais ils n'ont pu empêcher le suicide.
Avec un smartphone et une bonne connexion, Periscope permet de diffuser gratuitement un flux vidéo en direct, relayé par un compte Twitter et visible par tous. La vidéo du live reste accessible pendant 24 heures puis disparaît.
afp/tmun