"C'est un essai, qu'il ne faut ni surestimer ni sous-estimer", a déclaré le chef du Département des affaires étrangères.
"Il est très important en revanche de montrer ce qu'on peut nous-même faire, que chacun fasse un effort sans attendre les autres", a ajouté le ministre neuchâtelois.
Humanitaire au sens large
Didier Burkhalter a également indiqué qu'un agenda a été dressé pour un engagement humanitaire "très fort, beaucoup plus large qu'un humanitaire d'urgence", qui comprend également des aides au développement, des actions politique de paix, de sécurité humaine, de droits de l'homme.
Le conseiller fédéral va continuer son voyage mardi, partant d'Istanbul pour rejoindre le Liban, où il visitera plusieurs projets helvétiques, afin de rendre compte de l'action de la Confédération dans ce pays.
kkub