Le montant des dettes contractées par les compagnies propriétés du magnat de l'immobilier représenteraient le double de ce qu'indiquaient ses déclarations officielles en vue de la candidature à la Maison Blanche, selon le New York Times. Une partie de cette différence s'expliquerait par l'inadéquation du questionnaire à un empire financier tel que celui de Donald Trump.
Créanciers cibles de ses attaques
L'enquête du quotidien new-yorkais a également mis en lumière certains liens unissant l'empire Trump à ses créanciers. Parmi ces derniers figurent notamment des institutions régulièrement la cible d'attaques par le très polémique candidat républicain.
Ainsi, un immeuble de Manhattan, co-propriété du multimilliardaire, a comme créancier la Banque de Chine, une des plus grandes banques d'un pays que Donald Trump a qualifié d'"ennemi économique des Etats-Unis", et de Goldman Sachs, une institution financière qu'il a accusé d'être "contrôlée par Hillary Clinton".
kkub