"Je reviens d'un long chemin. La bande des quatre - Sarkozy, Fillon, Juppé, Le Maire - n'avait pas intérêt à voir arriver un cinquième élément", affirme-t-il dans un entretien paru vendredi dans La Provence.
"Ils espéraient que je n'aie pas mes parrainages. Je les ai. Je vais donc être candidat pour défendre la droite décomplexée", précise-t-il.
L'ancien président de l'UMP dit avoir obtenu le soutien de 250 élus, dont au moins 20 parlementaires, et de 2500 adhérents du parti.
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Attaques contre Nicolas Sarkozy
"Les autres ont fait leur temps. Ils avaient promis la rupture en 2007 et ne l'ont pas faite", souligne Jean-François Copé, qui attaque en premier lieu Nicolas Sarkozy.
"Nicolas Sarkozy a des mots durs, y compris avec ses concurrents, mais dans les actes il ne va pas au bout", conclut-il.
Reuters/grin