Le candidat à la candidature pour la présidentielle française en 2017 s’explique aussi sur le désamour dont il fait preuve dans les sondages. Jean-François Copé aborde aussi les suites probables de l’affaire Bygmalion, dans laquelle il a été blanchi, contrairement à Nicolas Sarkozy.
A propos du premier débat de la primaire des Républicains, le député-maire de Meaux explique que "quand Nicolas Sarkozy est à bout d'argument, il cogne brutalement mais ça ne fait pas si mal que ça".
Droit dans ses bottes
Le champion de la "droite décomplexée" donne aussi ses solutions pour sortir la France de l'impasse financière et politique. La retraite à 65 ans sans exception, qui signifierait la fin des régimes spéciaux, et une répression accrue face aux grèves figurent parmi ses propositions.
Couper la voix des frères Ramadan
Sur la laïcité, Jean-François Copé veut introduire un "délit d'islamisme radical" qui pourrait notamment concerner les conférences de Tariq Ramadan et de son frère Hani sur sol français.
Laetitia Guinand/ctr