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Les habitants de Caracas, en proie aux pénuries, ouvrent leur frigo

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Johnny Mendez et sa famille, à Caracas: "Je dois quitter la maison à 5 heures du matin, avec le risque de me faire tuer, pour faire la queue toute la journée et acheter seulement un ou deux produits". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Johnny Mendez et sa famille, à Caracas: "Je dois quitter la maison à 5 heures du matin, avec le risque de me faire tuer, pour faire la queue toute la journée et acheter seulement un ou deux produits". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Ricardo Mendez et sa famille: "Nous sommes une grande famille et cela devient toujours plus difficile pour nous de manger". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Romulo et Maria Bonalde: "Avant, nous pouvions acheter de la nourriture pour 15 jours. Maintenant, nous pouvons seulement couvrir nos besoins pour la journée". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Antonio Marquez et sa femme Maria de Marquez: "Nous mangeons moins car nous nous sommes limités. Avant, on gardait le réfrigérateur plein, mais ce n'est plus comme ça". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Lender Perez, Isamar Ramirez et leurs filles: "Cela fait 15 jours que nous mangeons du pain ou un arepa (pain de maïs vénézuelien) avec du fromage. On mange plus mal qu'avant car on ne trouve pas les produits que l'on peut se payer". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Rosa Elaisa Landaez et sa famille: "Si on a de la farine de maïs, on va manger des arepas toute la journée. Si vous avez l'argent, vous ne trouvez pas la nourriture, et si vous la trouvez, nous n'avez pas assez d'argent". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Antonia Torres: "Je mange moins, mais aussi un excès de choses qui ne devraient pas être mangées". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Ciliberto Paez et Consuelo Machado: "Avant, vous pouviez acheter tout ce que vous vouliez à la fois, maintenant vous pouvez seulement acheter ce qu'on vous vend". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]

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Duglas Sanchez: "Nous mangeons mal, nous ne pouvons pas manger de manière équilibrée. Si nous mangeons à midi, nous ne le faisons pas le soir. Et si nous le faisons le soir, on ne prend pas de petit-déjeuner". [REUTERS - Reuters]

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Alida Gonzalez et sa famille: "Avec l'argent que l'on dépensait pour le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner, on ne peut plus qu'acheter un petit-déjeuner... et pas un bon". [Reuters - Carlos Garcia Rawlins]