C'est le ministère de la défense sud-coréen qui a communiqué au sujet de l'essai de Pyongyang. Pour Séoul, ce tir de missile, qui a parcouru une distance de 500 kilomètres et dont "le type exact doit encore être déterminé", constitue une provocation visant à tester le nouveau président américain, Donald Trump.
Il s'agit du premier tir de missile balistique effectué par le régime de Pyongyang depuis l'élection américaine en novembre.
Les Etats-Unis derrière le Japon
Au moment du tir, Donald Trump passait le week-end dans une luxueuse résidence en Floride avec le premier ministre japonais Shinzo Abe, qui effectue depuis vendredi une visite officielle aux Etats-Unis. Il a rappelé que les Etats-Unis étaient "à 100% derrière le Japon, son grand allié".
Peu avant, le dirigeant japonais avait déclaré que le tir nord-coréen était "intolérable", ajoutant que Pyongyang devait "respecter pleinement les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU".
ats/jop