Ces sanctions, prises à l'encontre d'individus et de sociétés russes et originaires de Crimée, ont été instaurées en mars 2014, après l'annexion par la Russie de la Crimée et son implication dans l'insurrection dans l'est de l'Ukraine.
"L'évaluation de la situation ne justifie pas de changement dans le régime des sanctions", indique le communiqué de l'UE.
Accès interdit et avoirs gelés
Sur la liste des personnes sanctionnées, figurent des conseillers du président russe Vladimir Poutine, des parlementaires et des responsables des secteurs de la défense et du renseignement, des militaires, ainsi que des séparatistes ukrainiens et des rebelles dans l'est de l'Ukraine.
Compte tenu de la suppression de deux noms correspondant à des personnes décédées, la liste comprend 150 personnes et 37 sociétés qui se voient interdire l'accès aux pays de l'Union européenne et dont les avoirs dans ces pays sont gelés.
ats/kkub