Riyad, en Arabie saoudite, a permis au président américain d'assurer le spectacle. Une improbable participation à une danse du sabre, une remise de décoration où il s'est incliné poliment alors qu'il avait juré de ne jamais le faire, les moments drolatiques n'ont pas manqué.
Le plus remarquable étant l'inauguration d'un centre dédié au combat contre l'extrémisme, quelque part entre un épisode perdu de "Star Wars" et une cérémonie occulte bizarrement éclairée:
L'arrivée à Tel Aviv a été marquée par un geste furtif mais remarqué de Melania Trump "repoussant" la main tendue de son époux. Moins anecdotique, la visite au mur des Lamentations, la première d'un président américain:
A Bethléhem, on pouvait lire sur des affiches: "La ville de la paix souhaite la bienvenue à l'homme de paix". Donald Trump y a rencontré Mahmoud Abbas, et une fanfare palestinienne a livré une version très "guggenmusik" de l'hymne américain:
pym