Les sanctions consistent en des gels d'avoirs et des interdictions de voyager. Parmi les personnes sanctionnées figure le chef présumé des services d'espionnage du régime communiste.
Les treize autres personnes sont des responsables du parti des travailleurs et des dirigeants de sociétés chargées de garantir les achats des programmes d'armement de Pyongyang.
Une branche de l'armée, deux sociétés de négoce et la Koryo Bank sont aussi sanctionnées. Elles s'ajoutent à une liste de 39 individus et 42 entités nord-coréens déjà visés par des sanctions.
Vote de la Chine
Le texte a été adopté à l'unanimité, avec le vote de la Chine, alliée de la Corée du Nord.
"Le gouvernement de Donald Trump est encouragé par l'engagement renouvelé de la Chine à travailler avec la communauté internationale pour la dénucléarisation", a déclaré le secrétaire américain à la défense, James Mattis.
ats/lc
Tirs de missiles et essais nucléaires
Pyongyang a procédé à des dizaines de tirs de missiles et à deux essais nucléaires depuis le début 2016.
Le régime communiste cherche à mettre au point un missile balistique intercontinental (ICBM) capable de porter le feu nucléaire sur le continent américain.
Deux résolutions en 2016
L'ONU a déjà adopté l'an dernier deux résolutions pour alourdir les sanctions économiques contre la Corée du Nord, qui est déjà sous le coup de six séries de sanctions depuis son premier essai nucléaire effectué en 2006.