Si certains emboîtent le pas du président américain, d'autres refusent l'idée que les contre-manifestants aient une responsabilité égale dans les violences.
"Nous devons être clairs. La suprématie blanche est répugnante", a tweeté Paul Ryan, président républicain de la Chambre des représentants. "Cette intolérance est opposée à toutes les valeurs du pays. Il ne peut y avoir aucune ambiguïté morale".
"Le président Trump est un sympathisant des suprémacistes blancs néonazis", a affirmé pour sa part dans un communiqué Steven Goldstein, chef du Centre Anne Frank pour le Respect Mutuel, une organisation de défense des droits de l'homme aux Etats-Unis.
"Haine remise à la mode"
"Ce qui était le week-end le plus honteux du président vient d'être prolongé indéfiniment", a tweeté l'actrice et activiste Mia Farrow.
Pour la star du basket LeBron James: "La haine a toujours existé en Amérique. On le sait, mais Donald Trump l'a remise à la mode!".
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afp/pym