"L'un des dangers d'internet, c'est que les gens peuvent voir des réalités totalement différentes. Ils peuvent être bercés par des informations qui renforcent leurs parti pris", a-t-il déclaré dans sa première interview depuis son départ de la Maison Blanche.
"La question qui se pose, c'est comment exploiter cette technologie de manière à permettre la pluralité des voix, la diversité des points de vue, tout en évitant une balkanisation de la société", a martelé l'ancien président américain, sans citer son successeur Donald Trump, très critiqué pour ses tweets intempestifs.
Esprit libre
L'ex-locataire de la Maison Blanche a confié aussi avoir quitté ses fonctions avec "globalement" un sentiment de "sérénité", mais éprouver aussi de l'"inquiétude" quant à l'avenir de son pays.
Ce qui a changé depuis mon départ? "Je me lève plus tard" avec "l'esprit libre", a-t-il dit, ajoutant "c'est un ravissement d'avoir la possibilité d'être le maître de sa journée".
ats/pym
L'épineuse question de l'invitation au mariage
Selon le tabloïd britannique Sun, la perspective de voir Barack Obama assister au mariage du prince Harry et de Meghan Markle en mai prochain inquiète des responsables du gouvernement britannique qui craignent qu'une telle invitation ne soit vécue comme un affront par l'actuel président Donald Trump.
Quoi qu'il en soit le prince Harry dit se sentir très proche de l'ancien président américain.