Des représentants de Facebook ont été rejoints par des représentants d'Instagram et des responsables des polices britannique, française et belge, a indiqué l'agence de police européenne vendredi.
L'objectif était "d'identifier et garantir le retrait rapide des contenus terroristes et extrémistes violents mis en ligne" sur les deux sites.
Bien que 99% de ces messages aient été identifiés et retirés, "nous étudions comment les propagandistes contournent ces contre-mesures mises en place par Facebook" a indiqué Vincent Semestre, chef de l'unité d'Europol chargée de l'internet.
Communauté toujours active
Parallèlement aux défaites militaires subies par le groupe Etat islamique en Syrie et en Irak, la présence de l'organisation djihadiste sur internet s'est également effondrée.
Néanmoins,Vincent Semestre a averti que si la "capacité de production" de l'EI a diminué, "sa communauté a pris en charge une partie de la responsabilité de créer du contenu".
afp/pym