Ce nouveau bilan intervient après la mort de sept civils, tués jeudi dans une frappe aérienne visant la localité de Zamalka, selon l'ONG. Elle précise que 905 civils ont aussi été tués dans le pilonnage du régime depuis le 18 février.
La même organisation évoque aussi des dizaines de cas de suffocation dans la Ghouta orientale. Mercredi, au moins 60 personnes ont souffert de difficultés respiratoires dans les localités de Saqba et Hammouriyé après des frappes aériennes.
Attaques au gaz de chlore
Des médecins dans un établissement médical de l'enclave rebelle ont assuré de leur côté avoir traité au moins 29 patients qui présentaient des symptômes d'exposition au gaz de chlore, selon la Société médicale syro-américaine.
Des cas similaires ont déjà été rapportés à deux reprises ces jours dans la Ghouta orientale, selon l'OSDH. Le régime syrien, qui a plusieurs fois démenti utiliser des armes chimiques, a aussi été pointé du doigt pour des attaques présumées au gaz de chlore.
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ats/jvia