Ils réclament l'application du cessez-le-feu négocié. L'ONU sollicite elle une désescalade. L'Union européenne a appelé vendredi les alliés de Damas à faire cesser les hostilités pour éviter un drame humanitaire dans cette province contrôlée par les forces rebelles.
La région est une des zones de cessez-le-feu créées par l'accord conclu à Astana en mai 2017 et parrainé par la Russie, l'Iran et la Turquie, a rappelé la porte-parole de la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini.
Mesures indispensables
"Toutes les mesures nécessaires pour protéger la vie des civils ainsi qu'un accès humanitaire sans entrave, sûr et durable doivent être assurées", a-t-elle ajouté. Selon les Nations unies, cette offensive met en danger plus de 750'000 civils dans la région.
Peu après, c'est l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, qui a réclamé l'application du cessez-le-feu. Elle demande notamment à Moscou d'user de son influence sur Damas "pour faire respecter et assurer l'application du cessez-le-feu.
agences/br