"Il faut reconnaître que nous n'avons pas toujours fait ce qu'il fallait par le passé et nous en sommes sincèrement désolés", a écrit le patron de Google Sundar Pichai dans un email aux salariés.
"Clairement, nous devons effectuer des changements", a-t-il poursuivi, accompagnant son message d'une série de mesures pour "plus de transparence" et de "soutien".
Plus de communication
Google promet notamment de communiquer régulièrement le nombre de cas de harcèlement sexuel avéré dans l'entreprise et les mesures disciplinaires prises. Quant aux salariés faisant remonter de tels agissements, ils seront mieux soutenus et accompagnés, a assuré le géant technologique.
Comme le demandaient ses salariés, Google va aussi mettre fin à la "clause d'arbitrage" obligatoire, qui contraint les employés à recourir à une forme de médiation hors tribunaux plutôt qu'à un procès en cas de harcèlement ou d'agression sexuels. Elle sera désormais "optionnelle".
afp/br