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Le grogne tunisienne monte également sur les réseaux sociaux

Des bloggeurs, des membres du parti pirate tunisien ou encore un rappeur. Nombreux sont jeunes qui ont été arrêtés ces derniers jours en Tunisie pour avoir "critiqué " le pouvoir. Le mouvement est né lorsqu'un vendeur de fruits et légumes de Sidi Bouzid, petite ville du centre du pays, s’est immolé le 17 décembre quand la police lui a confisqué sa marchandise. Un suicide qui a servi de catalyseur à une jeunesse au chômage, qui conteste le président Ben Ali dans la rue et se sert d'internet et des réseaux sociaux en ligne pour faire entendre sa voix. Par Magali Philip.
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