Jeune débouté, employeur, parrain, enseignante ou encore intervenant social: de nombreuses personnes de tous horizons se sont réunies jeudi après-midi à Lausanne pour présenter ce texte aux médias.
Il relaie, sur deux pages, les préoccupations des migrants concernés, mais aussi de patrons, de professionnels du domaine, d'enseignants et de familles de parrains. "C'est un point de départ", résume Martino Guzzardo, chargé de projet au Service social international.
Signatures sur internet
Cet appel, baptisé "Un apprentissage - un avenir", a été rédigé à la suite des Assises romandes consacrées début février à la question des jeunes contraints à interrompre leur formation après le refus d'une demande d'asile. Il peut être signé sur internet et sera transmis aux autorités cantonales et fédérales "afin de changer la situation".
Apolitique, le mouvement pour l'heure romand veut aussi se rapprocher des Alémaniques "qui sont confrontés aux mêmes situations".
ats/oang