L'animal a été immortalisé lors d'une session de piégeage photographique, destinée à l'origine à la détection du chat sauvage, explique l'association de la Grande Cariçaie dans sa dernière Newsletter.
L'observation de cette espèce "n'est pas très surprenante" dans la mesure où elle s'étend de plus en plus en Suisse, note l'association basée à Cheseaux-Noréaz (VD).
Impact pas encore clair
Omnivore, le raton laveur (Procyon lotor) se nourrit de petites proies de type insectes, vers de terre et amphibiens, s'attaquant aussi parfois à des rongeurs ou à des oisillons. Nocturne, bon grimpeur et nageur, il peut coloniser des habitats très variés.
Son impact sur la faune indigène n'est pas clair, relève l'association de la Grande Cariçaie. Elle précise néanmoins que ce raton laveur "entre forcément en compétition avec des espèces locales".
ats/lan