La bête a été abattue par une garde-chasse et le cadavre de l'animal a été envoyé à l'Université de Berne pour y être autopsié.
A mi-juillet, les autorités cantonales avaient autorisé l'abattage de ce loup, qui avait dévoré une vingtaine de moutons en trois semaines. Les conditions pour le tuer étaient alors remplies.
Un deuxième loup repéré
L'autorisation de tuer ce loup était valable pour deux mois. Les dix gardes-chasses du canton, ainsi que des chasseurs désignés par les autorités étaient autorisés à abattre l'animal.
Mercredi, les autorités cantonales ont annoncé qu'un deuxième loup avait été repéré dans le canton. Un mouton a été dévoré mardi dans le val Maderan, sur la commune de Bristen (UR), à l'est du canton. Le loup abattu dans la nuit de mercredi à jeudi était actif à l'autre extrémité du canton.
ats/boi