L'Inspectorat fédéral de la sécurité nucléaire (IFSN) a décidé que les données devaient être mises à disposition de Greenpeace et de la population.
Les rejets respectent les limites fixées comme le montraient déjà les rapports 2013 et 2014 sur la radioprotection, a précisé lundi l'IFSN.
Intérêt public
Greenpeace avait demandé à pouvoir consulter ces données. La centrale avait refusé. Greenpeace avait fait recours au Tribunal administratif fédéral (TAF) qui avait donné raison à la centrale. Selon le TAF, l'intérêt à la protection du secret des données doit prévaloir sur l'intérêt public à les divulguer.
Greenpeace avait alors porté l'affaire devant le Tribunal fédéra. En septembre, celui-ci avait accepté le recours et annulé le jugement du TAF. Selon les juges de Mon Repos, l'intérêt public à faire connaître ces données doit l'emporter.
ats/hend