Le crédit a été accepté par 267 voix "pour", 30 "contre" et 29 abstentions. Il s'agissait d'une condition indispensable pour donner le coup d'envoi à un vaste plan de sauvetage.
Fort de ce financement public, une task force spéciale va se mettre au travail pour trouver des capitaux privés et inventer un nouveau modèle économique à même de pérenniser les remontées mécaniques.
Refus d'une hausse d'impôts
Au mois de novembre dernier, la population avait dit non à une hausse d'impôts permettant le maintien d'une aide de 600'000 francs à la société RapidoSky, qui exploite les remontées mécaniques.
La réduction drastique de l’ardoise, de 600'000 à 250'000 francs sans augmentation d’impôts, est providentielle, mais il va encore falloir trouver 250'000 francs supplémentaires d’argent privé pour passer l’hiver et inventer un nouveau modèle économique.
gma