Contactée par La RTS, la ministre fribourgeoise de la Santé, Anne-Claude Demierre, a confirmé les informations de La Liberté. Elle a précisé qu'elle ne porterait pas plainte, car la personne à l'origine des menaces n'a pas été identifiée. En outre, aucune parole n'a été adressée directement à la conseillère d'Etat.
"Ni Anne-Claude Demierre ni la DSAS (Direction de la santé et des affaires sociales, ndlr.) n'ont fait l'objet d'attaques du même genre durant les jours ayant suivi la séance d'information", a indiqué la porte-parole de la DSAS, Claudia Lauper, au quotidien.
Par ailleurs, la syndique de Tinterin, Antje Burri-Escher, avait aussi dit à la RTS mercredi qu'elle avait reçu des menaces de mort durant la même soirée.
Hostilité envers le centre
De nombreuses personnes, parmi le millier de curieux venus assister à la séance publique mercredi dernier, avaient montré leur hostilité envers le projet en sifflant les autorités lors de leurs prises de paroles.
hend