Durant l'année qui s'achève, l'aéroport a connu une diminution du nombre de passagers et procédé à des améliorations technologiques, comme par exemple le nouveau scanner de contrôle des passagers.
Des innovations qui ont permis une rationalisation des processus de sécurité et par conséquent une baisse des besoins en effectifs. Ainsi, ce sont 20'000 heures de travail de moins pour 2019 en terme de sécurité. Ce sont les raisons avancées à la fois par l'aéroport et par Securitas pour expliquer ces suppressions de postes.
"Incompréhensible"
Les représentants du personnel de Securitas estiment cette justification incompréhensible, alors que le manque d'effectifs a été plusieurs fois pointé du doigt.
Le personnel exige davantage d'explications sur les raisons des licenciements, mais aussi sur le profil des personnes concernées. Pour l'heure, ces revendications sont restées sans réponses.
Sylvie Belzer/gma