L'UDC genevoise estime que la perception d'un impôt qui est parmi les plus élevés de Suisse ne se justifie plus, car l'Etat fait tout pour entraver l'utilisation de moyens de transport individuels motorisés dans le canton.
Cette politique anti-voiture contrevient pourtant à la Constitution cantonale, qui garantit la liberté individuelle du choix du mode de transport, rappelle l'UDC Genève. Malgré cette obligation, l'Etat supprime régulièrement des infrastructures dévolues aux transports individuels motorisés.
Pour le parti agrarien, "la cerise sur le gâteau" a été la disparition, pendant la crise sanitaire du printemps 2020, de voies entières de circulation afin de réaliser des aménagements dédiés à la mobilité douce. Le résultat est que "GE ne roule plus!", constate l'UDC.
ats/ebz