A Genève, les bistrots obligés de fermer à minuit à cause des nuisances sonores engendrées par leur clientèle ont obtenu un nouveau répit. Après une période probatoire de trois mois, les autorités genevoises ont reconduit pour un an les dérogations de 19 d'entre eux.
La délivrance de ces autorisations intervient au terme d'une période de trois mois pendant laquelle des contrôles ont été effectués.
"Message passé"
"Nous avons pu constater que des améliorations ont été apportées et que le message avait passé", a indiqué jeudi Jean-Charles Magnin, directeur général des affaires économique au Département des affaires régionales, de l'économie et de la santé (DARES).
Dix-neuf établissements sur 22 se sont ainsi vus accorder une dérogation d'une année. Seuls trois établissements n'ont obtenu qu'une autorisation trimestrielle et disposent d'un délai supplémentaire pour démontrer l'efficacité des solutions mises en oeuvre, relève le communiqué du DARES.
ats/ptur