Le texte, intitulé "Non à l'interdiction d'Uber à Genève", dénonce la décision du Service du commerce genevois de stopper les activités de la société dès mercredi alors que la justice est saisie.
Promu sur la page Facebook de la société, dotée d'1,4 million de likes, il invite les Genevois "qui soutiennent l'innovation et la mobilité" à signer la pétition, voire à écrire directement à Pierre Maudet, dont le département a la charge de l'affaire.
Uber toujours actif à Genève
Alors qu'elle entame son deuxième jour d'interdiction, l'application Uber permet toujours de commander un chauffeur à Genève jeudi.
Interrogées par 20 minutes, les autorités de surveillance des taxis affirment que ses agents sont bannis de l'application dès qu'ils sont démasqués et que celle-ci donne de fausses localisations de véhicules. Le porte-parole d'Uber en Suisse, Thomas Meister, s'en défend toutefois dans les colonnes du quotidien gratuit.
mac