Selon la Tribune de Genève, ces trois nouveaux prévenus s'ajoutent aux deux personnes déjà soupçonnées d'incendie intentionnel pour l'incident qui avait fait un mort et quarante blessés la nuit du 16 au 17 novembre.
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Les trois agents, qui contestent les faits, sont soupçonnés d'avoir mal géré la situation lors de l'incendie, notamment en matière d'alerte et d'évacuation. Le Ministère public genevois va demander une expertise pour faire la lumière sur le drame.
"Des portes auraient dû être fermées"
Selon une source proche du dossier citée par le quotidien, "des portes auraient dû être fermées pour éviter de faire monter la fumée dans le foyer hébergeant 700 personnes. (...) De plus, les pompiers, à leur arrivée, n'avaient pas les clés pour ouvrir tous les accès".
En outre, comme l'indique un rapport des pompiers, ces derniers ont constaté que des fenêtres des portes étaient condamnés, ce qui a compliqué l'évacuation des requérants lors de l'incendie.
gchi