Méconnues, les puces de canards sont au centre d'une étude à Genève
"On se rend compte que les connaissances scientifiques de base sur la diversité de ces espèces responsables de ce qu'on appelle la dermatite du baigneur sont très incomplètes", relève dans le Journal du matin Jacques Ayer.
Le directeur du Muséum d'histoire naturelle de Genève explique cette méconnaissance par le fait que ces parasites ne sont pas un objet d'étude prioritaire. "Les puces de canards sont dérangeantes, mais ne sont pas mortelles. Et ces études passent par des connaissances systématiques, plutôt pratiquées dans les musées."
Les puces de canards sont dérangeantes, mais ne sont pas mortelles
Les résultats de l'étude seront disponibles dès le printemps 2018. "Les résultats vont servir de modèle, probablement reproductible pour d'autres situations lacustres en Suisse."
Tania Sazpinar/lgr