L'état de l'infrastructure et du matériel roulant de cette ligne à voie métrique de quatre kilomètres construite en 1890 aurait nécessité d'importants investissements.
"Il s'agit d'une ligne ferroviaire avec une fréquentation relativement modeste", a expliqué samedi dans La Matinale Laurent Favre, conseiller d'Etat neuchâtelois en charge du département du développement territorial et de l'environnement.
"Une meilleure desserte"
"Un investissement ferroviaire aurait coûté entre 35 et 45 millions de francs contre un investissement pour les bus électriques de 16 millions pour une desserte de meilleure qualité", a-t-il encore expliqué.
La future ligne de bus devrait également réutiliser une partie de la plateforme ferroviaire, selon les autorités cantonales neuchâteloises.
Deborah Sohlbank/lan