Une procédure de consultation lancée voilà trois semaines auprès de la centaine de collaborateurs a permis de limiter la casse. Cinq salariés seront par ailleurs transférés dans d'autres sociétés de l'entreprise horlogère, qui appartient à la Fondation de famille Sandoz.
La marque basée dans le Val-de-Travers, a convoqué son personnel mercredi pour l'informer "qu’une procédure de licenciements collectifs est en cours", selon RTN. Le syndicat Unia a confirmé l'existence de la procédure.
Les personnes licenciées n'ont pas encore été désignées. La direction de Parmigiani a indiqué être ouverte aux propositions de ses employés jusqu'au 22 octobre pour tenter de diminuer au maximum le nombre de suppressions d'emploi.
La détérioration de la situation économique de l'entreprise horlogère, notamment en raison du tassement des marchés russes, chinois et au Moyen-Orient, l'aurait conduite à prendre cette décision.
fisf