Le communiqué de l'Etat du Valais publié mercredi indique que 500 tronçons susceptibles de bénéficier d'une diminution de vitesse ont été analysés. Il précise que la démarche se fait en accord avec les communes, qui souvent demandent elles-mêmes une réduction de vitesse.
Le canton a développé une méthode pour définir les centres de localités où la vitesse peut être réduite. Les critères déterminants sont la sécurité routière, les nuisances sonores et les qualités urbanistiques.
Sécurité et qualité de vie
Le canton attend avec cette mesure une amélioration de la santé et de la qualité de vie. Il rappelle qu'une réduction de la vitesse à 30 km/h permet de diviser par trois la violence d'un choc avec un piéton. Les chances de survie, elles, sont jusqu'à six fois plus élevées.
L'impact sur les nuisances sonore est lui aussi important, puisqu'une telle réduction de vitesse équivaut, du point de vue du bruit, à une diminution de moitié du trafic.
ats/oang