L’enjeu est d’avoir une communication plus transparente et directe avec les 12-25 ans, via les réseaux sociaux, un blog, une application mobile, et avec le langage approprié.
L’Etat utilisait déjà internet jusqu’ici "mais de manière éparpillée", note Diana Quinodoz, membre du service.
Répondre aux besoins et attentes des jeunes
Aujourd’hui, la plupart des demandes de financement de projets proviennent de structures professionnelles comme les centres de jeunes ou de loisirs.
Pour le délégué cantonal à la jeunesse, Paul Burgener, il faut inverser la tendance et impliquer davantage les jeunes dans les projets qui sont soutenus.
Démarches administratives simplifiées
Les demandes doivent donc venir des jeunes eux-mêmes. Pour cela, les procédures ont été simplifiées. Obtenir un financement pour un projet implique en effet des démarches administratives d’autant plus rébarbatives qu’elles sont rédigées dans un langage trop éloigné de celui des jeunes.
Yves Terrani
Quinze ans d'aides financières
La Commission des jeunes du canton du Valais dispose d’un budget annuel de 240'000 francs.
En quinze ans d’existence, elle a reçu quelque 1300 demandes d’aides financières.
Elle en a accepté un millier pour un montant cumulé de 3 millions de francs.