Le conseil de parti, qui comprend 25 personnes environ, s'est réuni et a pris sa décision en début de semaine.
"J'ai proposé ma candidature pour permettre à l'UDC d'avoir la palette de choix la plus large possible", note Oskar Freysinger mercredi dans Le Nouvelliste. Il a ajouté que ses chances étaient "entre 0 et 100%".
Son principal défaut serait son "franc-parler"
Le conseiller d'Etat estime que son parcours politique et sa maîtrise des langues lui donnent un "profil intéressant", et que son principal désavantage est son "franc-parler".
Les sections cantonales ont jusqu'au 13 novembre pour soumettre leurs propositions de candidatures à la commission de sélection de l'UDC. Pour la Suisse romande, le conseiller national vaudois Guy Parmelin devrait être proposé par sa section cantonale.
ats/apyt