L'élu valaisan a dit son inquiétude pour l'industrie chimique valaisanne, et s'est agacé de la levée de boucliers de Lausanne, Prilly et Renens, qui ont demandé cette semaine l'arrêt du transport par rail.
"Nos amis vaudois seraient bien inspirés de se pencher sur l'accroissement du transport de produits pétroliers depuis la fermeture de la raffinerie de Collombey", a-t-il déclaré, arguant que si un accident impliquant des produits pétroliers était moins dangereux, le risque d'un tel événement était plus élevé.
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Production sur place "pas viable"
Interrogées par le quotidien, les industries concernées, Lonza à Viège et Syngenta à Monthey, admettent que la production de chlore sur place "serait possible techniquement", mais "pas économiquement viable".
Un groupe de travail mis en place par la Confédération se penche actuellement sur des solutions alternatives, notamment un approvisionnement par d'autres itinéraires ou la limitation du nombre de transports.
En cas d'accident, un wagon de chlore menacerait 20'000 personnes.
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jvia