Les députés valaisans avaient du pain sur la planche avec le traitement de près de soixante amendements. Les propositions n'ont pas eu d'impact fondamental sur le texte de base et la mouture finale a été approuvée par 93 voix contre 14 et une abstention.
L'UDC du Valais romand a rejeté le texte, auquel elle s'oppose contre vents et marées depuis le début. Son attitude "jusqu'au boutiste" a d'ailleurs été plus d'une fois fustigée par des députés de tous bords.
Le référendum, "un aveu de faiblesse"
Le plénum a choisi de soumettre le texte au scrutin populaire obligatoire. Un "aveu de faiblesse", selon David Théoduloz (PDC) président de la commission de deuxième lecture, qui se demande comment le débat pourra se passer sereinement au sein de la population alors qu'il ne l'a pas été au sein du parlement.
ats/kkub