L'IVV a déposé en mars 2015 une plainte contre Dominique Giroud pour concurrence déloyale, faux dans les titres, escroquerie et gestion déloyale. Alors que le premier chef d'accusation a abouti à une prescription, les trois autres font l'objet d'une investigation de la justice depuis octobre 2016, rapporte Le Nouvelliste.
Dans le quotidien valaisan, le procureur Patrick Schriber évoque des "moyens humains insuffisants" pour traiter le dossier plus rapidement.
Plusieurs actions pour faire avancer le dossier
Afin d'accélérer les procédures, l'IVV a tenté plusieurs démarches, relève le journal. La récusation du procureur a notamment été refusée par le Tribunal cantonal et la demande de reprise du dossier par le Ministère public de la Confédération est restée lettre morte.
L'IVV estime à quelque 60 millions de francs les pertes causées par les agissements de Dominique Giroud sur la viticulture valaisanne.
hend