Les représentants du PLR, du PDC du Valais romand et du Haut-Valais, des chrétiens-sociaux haut-valaisans et de l'UDC du Haut-Valais ont insisté sur l'aspect fédérateur du projet qui positionnerait la Suisse et le Valais comme destination touristique, tout en rappelant qu'il a le soutien du Conseil fédéral.
Pour ces partisans de Sion 2026, les retombées économiques sont un élément clé. Le milliard de francs prévu sera directement investi dans l'économie cantonale, promet-on. "Il faut à tout prix que nos enfants et petits-enfants aient du travail en Valais", insiste René Constantin, président du PLR valaisan.
"Prenons le risque d'avoir du succès"
"Un tel projet permet de booster et de générer une activité économique supplémentaire, le Valais en a besoin. Nous sommes toujours en queue de classement en terme de prospérité, de compétitivité économique, c'est le moment ou jamais de prendre en main notre destin économique", ajoute-t-il.
"Nous avons besoin de ces perspectives, de ce moteur qui servira à maintenir et à développer l'emploi", renchérit le président du PDCVr Serge Métrailler. "Prenons le risque d'avoir du succès", résume le conseiller national UDC Franz Ruppen.
Marie Giovanola/lgr
"Il faut à tout prix que nos enfants et petits-enfants aient du travail ici en Valais. Malheureusement on voit bien qu'il y a des développements de secteurs, comme la santé le social, tout le monde va pas pouvoir s'y engouffrer, par contre nous avons besoin de mains intelligentes dans le domaine de l'artisanat, il y a un net recul, nous avons perdu 25% d'apprentis en dix ans et bien avec un tel projet comme les Jeux olympiques nous allons pouvoir garantir une activité notamment pour nos petites PME qui travaillent dans la rénovation, la construction, c'est un élément important pour le Valais."
sans Jo économies va mal?
"Un tel projet permet de booster et de générer une activité économique supplémentaire, le Valais en a besoin, je vous rappelle que nous sommes toujours en queue de classement en terme de prospérité, compétitivité économique, c'est le moment ou jamais de prendre en main notre destin économique."