La présidente du Centre Vaud Valérie Dittli candidate au Conseil d'Etat

Lors de cette même réunion à huis clos, les membres du Centre Vaud ont plébiscité cette entente avec le PLR et l'UDC, qui "traduit l'aspiration du parti à défendre une vision centriste, inclusive et équilibrée de la gouvernance vaudoise, ainsi qu'une politique axée sur la classe moyenne et les familles", a indiqué mardi le parti dans un communiqué.

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Appel à soutenir une politique centriste

Valérie Dittli, juriste de 28 ans d'origine zougoise, chargée de recherche à l'Université de Lausanne, avait été élue à la tête des centristes vaudois (PDC à l'époque) en septembre 2020. Elle s'était présentée à l'élection municipale de Lausanne au printemps dernier, obtenant 5,68% des voix.

La candidate appelle "à la cohésion et projette de faire valoir des positions de politique centriste aux côtés d'une droite plurielle". Elle se réjouit notamment à l'idée de représenter et exprimer la voix des personnes de moins de 30 ans.

"Nous faisons alliance avec les partis de droite afin de défendre certains thèmes devenus critiques pour le canton, notamment la nécessité de baisser les impôts pour les familles et la classe moyenne et de défendre une éducation de haute qualité pour nos enfants", affirme-t-elle.

A l'origine d'une affaire au sein du parti

Valérie Dittli a fait parler d'elle dans les médias en mai dernier lorsqu'elle a annoncé, contre leur gré, la retraite politique des deux caciques du parti Claude Béglé et Jacques Neirynck. L'affaire a fait beaucoup de bruit. Le premier a démissionné du parti, mais pas le second avec qui le Centre Vaud a finalement annoncé avoir trouvé une entente.

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ats/oang